Gestion d'entreprise

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Gestion d’entreprise ou la gestion des aléas et des risques

La gestion d’entreprise implique de prendre des décisions quant aux investissements et aux placements financiers à effectuer. L’arbitrage de la gestion d’actifs se fait au regard des risques encourus, des besoins de liquidité et de la rentabilité espérée.En effet, assurer une bonne gestion des besoins en fonds de roulement permet à l’entreprise de générer des liquidités supplémentaires pour envisager des placements financiers. Ainsi, en cas d’impayés, envisager des procédures de recouvrement en temps et en heure peut s’avérer salvateur.

A défaut, l’entreprise débitrice pourrait se retrouver en difficulté pouvant aboutir sur une procédure collective (procédure de redressement judiciaire ou procédure de liquidation judiciaire) bloquant toutes les possibilités de récupérer ce qui est dû à son créancier. De même, palier aux risques pouvant affecter gravement la bonne continuation de l’activité au moyen d’une assurance professionnelle (RC pro, assurance dommage, assurance marchandise…) est obligatoire selon l’activité ou fortement recommandé.

Enfin, la gestion d’entreprise au moyen d’outils informatiques implique le traitement des données à caractère personnel (clients, salariés, fournisseurs, sous-traitants…). Or, depuis l’entrée en vigueur du RGPD (ou GDPR en anglais), les entreprises doivent mettre en place des dispositifs de protection des données personnelles (plus ou moins renforcés selon leur nature) et garantir des droits aux personnes concernées. A ces fins, elles peuvent (ou doivent) nommer un DPO (Data Protection Officer).

Gestion d’entreprise ou la gestion des aléas et des risques

La gestion d’entreprise implique de prendre des décisions quant aux investissements et aux placements financiers à effectuer. L’arbitrage de la gestion d’actifs se fait au regard des risques encourus, des besoins de liquidité et de la rentabilité espérée.En effet, assurer une bonne gestion des besoins en fonds de roulement permet à l’entreprise de générer des liquidités supplémentaires pour envisager des placements financiers. Ainsi, en cas d’impayés, envisager des procédures de recouvrement en temps et en heure peut s’avérer salvateur.

A défaut, l’entreprise débitrice pourrait se retrouver en difficulté pouvant aboutir sur une procédure collective (procédure de redressement judiciaire ou procédure de liquidation judiciaire) bloquant toutes les possibilités de récupérer ce qui est dû à son créancier. De même, palier aux risques pouvant affecter gravement la bonne continuation de l’activité au moyen d’une assurance professionnelle (RC pro, assurance dommage, assurance marchandise…) est obligatoire selon l’activité ou fortement recommandé.

Enfin, la gestion d’entreprise au moyen d’outils informatiques implique le traitement des données à caractère personnel (clients, salariés, fournisseurs, sous-traitants…). Or, depuis l’entrée en vigueur du RGPD (ou GDPR en anglais), les entreprises doivent mettre en place des dispositifs de protection des données personnelles (plus ou moins renforcés selon leur nature) et garantir des droits aux personnes concernées. A ces fins, elles peuvent (ou doivent) nommer un DPO (Data Protection Officer).

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Le choix du statut juridique dans une optique de gestion fiscale cohérente

La gestion d’une entreprise impose de choisir un cadre légal pour l’exercice de l’activité. Ce choix doit s’orienter au regard notamment :

  • de la fiscalité applicable (IS ou option IR) ;
  • du statut social du dirigeant (TNS ou assimilé salarié) ;
  • des investissements envisagés ;
  • des charges d’exploitation ;
  • du nombre d’associés ou d’actionnaires, si l’on souhaite exercer en société

Les fondateurs et le(s) futur(s) dirigeants de l’entreprise devront ainsi opter entre plusieurs types de sociétés (SARL, SAS, SA, SCA, SCS…) dont chacune répond à des caractéristiques organisationnelles différentes du fait d’un cadre légal plus ou moins restrictif des statuts de société (la SAS étant la société offrant le plus de liberté statutaire).
Si le fondateur de l’activité est seul, il peut s’orienter vers une entreprise individuelle (micro-entreprise, auto entreprise) ou une société unipersonnelle (EURL ou SASU). Le régime fiscal en découlant diffère : régime micro ou régime réel.
Remarque : le régime réel permet de bénéficier de crédits d’impôt (CICE, CIR…), levier intéressant d’optimisation fiscale.

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